vécu

Samedi 25 avril 6 25 /04 /Avr 12:00

De nos jours la façon de vivre évolue rapidement, les nombreux déplacements, la distance ne permettent pas forcèment d'assouvir ses envies et besoins. Pendant une période j'i été adepte de l'excitation par téléphone, après qu'on m'ait dit un jour que j'avais une voix de téléphone rose, j'ai usé et abusé de ce moyen de communication pour satisfaire mes pulsions lors de longues soirées solitaires.

 Puis j'ai découvert les petits plaisirs de l'ordinateur. La facilité à se lâcher derrièr un clavier, jusqu'au jour où...

Comme je l'ai déjà dit je répond assez facilement aux défis. De plus j'ai un côté exhibitionniste assez prononcé et je ne suis pas contre le fait d'être dirigée dans mes ébats. Au cours d'une conversation msn un peu poussée avec mon amant du moment, les mots sont devenus plus légers, les sens se sont enflammés, le température a flambé.

Monsieur bloqué à son travail, moi seule sur mon canapé, entre nous une web cam, il n'en a pas fallu plus pour que nos envies s'emballent. J'ai fait part de mon désir le plus explicitement possible, expliquant à monsieur combien j'aimerais être sous son bureau à cet instant ( oui, pour ceux qui n'auraient pas fait le lien je trip sur les bureaux et les ébats dans les lieux interdits ou insolites, d'ailleurs je vous raconterai bientôt le jour où je me suis retrouvée attachée sur un balcon ). Il m'a aussitôt demandé de brancher la webcam et de lui montrer dans quel état j'étais et ce que je lui ferais dans ce cas.

Et ... je me suis executée. Légèrement vétue, comme toujours quand je suis seule chez moi. J'ai joué avec la dentelle, faisant contraster sa noirceur sur la peau blanche de mes seins. Essayant de l'exciter au maximum, savourant ce moment où il allait perdre la tête, j'ai écarté les cuisses et laissé glisser mes doigts vers mon intimité. Changeant de position au gré de ses envies, savourant les ordres que me communiquait mon écran, essayant de deviner son désir au travers de ses mots.

Ecartant le string qui ne couvrait que le minimum, mes doigts allaient et venaient de mon clito à ma fente, lui offrant la meilleure vue possible sur mon sexe trempé. Je me liquéfiais à vue d'oeil tandis qu'il me demandait de me caresser les seins, d'ecarter plus largement mes fesses et de longer ma fente d'un doigt.

Devant la cam je m'exhibais sans pudeur, jouant à sa demande avec mon god favori et des boules de geisha qui me suivent partout. J'aimais cette sensation de plénitude, sachant que son excitation venait de mes actes, m'offrant  entièrement à lui, lui cachant où lui dévoilant mon corps. J'aimais l'idée que lui, coincé dans son open space, profitait du spectacle sans pouvoir réagir, j'adorais l'idée de le savoir dans tous ses états.

Pour le satisfaire je me faisais soumise, répondant à ses moindres désirs, titillant mes tétons, me léchant les doigts avant de les glisser en moi, jouant sans relâche pendant plus d'une demi-heure, collectionant plusieurs orgasmes qui me laissèrent épuisée.

Quand vint l'heure de débaucher, monsieur vint me rejoindre me retrouvant prète à dévirtualiser nos ébats, pour une soirée de débauche comme nous en avions rarement vécu avant. Mais ça c'est une autre histoire...

Par Ev - Publié dans : vécu
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Vendredi 17 avril 5 17 /04 /Avr 18:51
Quelles sont les limites du jeu, telle est la question que je me posais il y a peu. Parfois il suffit de peu pour que les mots dérapent en une douce euphorie. La conversation relatée précedemment a doucement dérapé. Un mot en attirant un autre X me demande des photos, je lui apprends que je suis au travail que les clients s'enchainent et que le transfert de fichier est par conséquent difficile. Que n'avais-je pas dit et comment en sommes nous arrivés là, toujours est-il que X ne tardait pas à me communiquer son "envie" de se glisser sous mon bureau.Aussitot le jeune homme me décrit avec force détails la manière dont il se glisserait derrière moi pour me surprendre, les caresses qu'il me prodiguerait, relevant mes cheveux pour s'attaquer à mon cou et mes épaules.Ses mots sont fluides, percutants et même mon boss tout proche ne suffit pas à empêcher la pression de monter en moi.   L'envie et le désir me gagnent tandis que je dois lutter pour que ma voix ne tremble pas tandisque je renseigne des clients. Je ne peux cependant lutter contre le rouge qui me monte au joue et la température de la pièce semble s'élever de plusieurs degrés au fur et à mesure qu'il m'expose ses envies.J'ai presque l'impression de sentir ses mains sur ma peau quand il parle de faire glisser le corsage qui m'enserre. De vieux fantasmes réinvestissent ma tête tandis qu'en parole ses mains parcourent mon corps, à l'abri sous mon bureau à qqs dizaines de centimètres des clients qui défilent.Je sens de longs frissons de plaisir courir dans mes veines. Mes seins ont durcit et pointent douloureusement. Ne portant pas de soutien gorge ce jour-là mon trouble est forcèment visible sous le fin tissu qui me couvre.  La chaleur est de plus en plus envahissante dans mon bas ventre tandis que tous les signes du désir se combinent en moi. Je ne peux m'empêcher de bénir l'instinct qui m'a fait opter pour un pantalon ce jour là.Les sensations sont tellement fortes que j'ai l'impression de vivre tout ce qu'il me décrit, et cet émoi rend mon travail de plus en plus agréable, je n'ose imaginer l'état dans lequel je pourrais être si ces faits venaient à se réaliser. Le plaisir intense et pénétrant, qu'il faut gérer au mieux, les soupirs à réprimer pour ne pas éveiller les soupçons, les sensations démultipliées par les risques de se faire surprendre. Sans que je n'ai vu le temps passer vient l'heure de débaucher, et il ne me faudra pas longtemps pour rentrer chez moi. Cependant durant tout le trajet je ne peut évacuer de mon esprit toutes les envies qu'il a insuflé dans mes veines. Il n'en faudra pas plus pour que je m'offre une fantastique séance de masturbation, mon esprit divaguant jusqu'à mon bel amant virtuel. L'imaginant glissé sous mon bureau un jour où j'aurais eu la présence d'esprit de passer une jupe. Ses mains glisseraient sur ma peau, prenant possession de mon corps, tandis que je ne pourrais que subir ses attentions. Sa langue, s'alliant à mon intimité en de douces aspirations, me ferait  perdre la tête sans que je ne puisse laisser transparaître le moindre émoi, sans même avoir le droit de me mordre les lèvres pour bailloner mon plaisir. Une délicieuse torture dont je rêve depuis des années, X a donc su toucher l'un de mes points sensibles. Et il ne me faudra que quelques minutes pour être emportée par le plaisir tandis que mes doigts se glissent en moi. Cette aventure n'aura (outre le plaisir qu'elle m'aura procuré) réussi qu'à me conforter dans deux pensées -j'aime ce genre de jeux virtuels, et l'un de mes prochains articles portera donc forcèment sur un jeu de cam-to-cam-être une femme fontaine quand on s'adonne à des jeux érotiques au travail ça ne facilite pas les choses.A ce sujet je sollicite votre avis puisque je suis en pleine reflexion. Etre une femme fontaine / partager l'intimité d'une femme fontaine, un bien ou un mal ?
Par Ev - Publié dans : vécu
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Vendredi 3 avril 5 03 /04 /Avr 19:40
On a souvent tendance à dire que la masturbation est un acte masculin, beaucoup de femmes ou jeunes filles ont tendance à cacher leur attrait pour le plaisir solitaire. Chez moi la masturbation est un acte naturel et évident, de ces plaisirs dont je ne peux pas me passer même lorsque je suis en couple. C'est un moment de relaxation totale, de plaisir intense, entier et ravageur que je recherche de tout mon corps.  Il n'est pas rare lorsque je suis chez moi que je m'adonne à ces plaisirs plusieurs fois dans la journée.

Cela peut me prendre n'importe où, n'importe quand. Il suffit parfois d'une image, d'un son pour que l'envie devienne incontrolable et que le besoin de l'assouvir  ne puisse être plus longtemps repoussée. Cela commence le plus souvent par une sensation de chaleur dans le bas du ventre, une moiteur habituelle , familière et attendue tant elle est le prémice d'une extase esperée.

Je suis une puriste du genre. Pour peu que la situation le permette, je commence alors aussitôt à me caresser. Peu importe ma tenue, il me suffit de glisser les doigts au plus proche de la dentelle cachée. Parfois même au travers de ce fin tissu qui prodigue d'insoupçonnables sensations. Mes doigts commencent par glisser en de longs mouvement fluides le long de mes lèvres intimes, sans les écarter. J'aime faire monter l'excitation au maximum avant d'en profiter.  De l'autre main je vérifie la douceur de la peau de mes seins, fais rouler mes tétons entre mes doigts.

Puis quand vient l'instant fatidique mes deux mains se concentrent sur mon entre-jambe. Tandis que l'une écarte largement mes lèvres, les doigts de la seconde s'humidifient à ma source avant de venir torturer mon clitoris, glissant dessus, le pinçant, s'en éloignant pour y revenir toujours plus insistant.

Au fur et à mesure que le plaisir me gagne, je perds la tête. Celle-ci se renverse, ma respiration se fait plus saccadée et j'aime ce moment où je perds tout contrôle, où mes mouvements s'accelèrent spontanèment. Il n'est alors pas rare que je fasse appel à mes jouets, vibro, gode ou autres boules de geisha.

Mon corps est pris de tremblements, j'ai l'impression que mon sang bouillonne dans mes veines, chaque sensation est décuplée. Au moment où la jouissance me gagne je porte mes doigts à ma bouche et laisse ma langue s'enrouler autour. Tandis que de l'autre main j'accentue les mouvement en moi.  Ma respiration se bloque, mes muscles se contractent et enfin j'arrive à l'instant recherché et c'est alors que cela se produit.

Je n'ai découvert cette particularité que sur le tard de ma vie sexuelle, quand j'ai enfin accepté de pouvoir prendre du plaisir. J'appartiens à la catégorie des femmes fontaines. Ca a longtemps été une complexe ( et ça le reste encore un peu, il faut le reconnaître ) d'autant que c'est un phénomène que je n'arrive absolument pas à controler. Lorsque le plaisir devient trop intense de longs jets de cyprine s'échappent de mon sexe. Il n'est pas rare que la présence d'un partenaire m'inhibe cela m'arrive donc le plus souvent lors de séances solitaires, où je peux me laisser complètement aller.  J'ai alors bizaremment l'impression que mon plaisir n'est entier que lorsque je me suis vidée, au risque souvent de laisser de jolies flaques à l'endroit du méfait.

Je n'ai jamais vraiment compris pourquoi, et je n'ai jamais réussi à savoir non plus l'effet que cela pouvait produire sur un homme. Ce phénomène est un mélange d'extase et de honte mais il reste en tout cas un moment très privilégié où les sensations sont parfaitement pures. Ce sont mes plus beaux orgasmes, ils me laissent pantelante, épuisée, et il n'est pas rare que je m'endorme dans les seconde qui suivent, simplement heureuse.
Par Ev - Publié dans : vécu
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Mardi 10 mars 2 10 /03 /Mars 18:25

Je crois avoir jusqu'à présent assez bien exprimé mon point de vue de la sexualité. Je l'appréhende comme un jeu au sein d'un duo (ou d'un trio), je suis pour le renouveau, la recherche, une sorte de don de soi enrichissant. Comme je l'ai dit dans l'article précédent je viens de connaître une période creuse, où j'ai eu le sentiment d'être tout sauf désirable et pour cause, voici les faits ...

Durant tout un après-midi, je suis seule chez moi. Je m'offre un vrai moment de fille : un bain aux huiles, une épilation intégrale, application de crèmes en tout genre, bref un chouchoutage en règle. Or ces petits rituels ont souvent un effet euphorisant sur moi, il n'est alors pas rare que je cède à la tentation et m'offre une séance de masturbation. Cependant, ce fameux jour, bien que l'excitation soit importante je ne cèderais pas. Mon corps est parcouru de frissons et une douce chaleur envahit le bas de mon ventre, je me sens engourdie, mon esprit est brumeux comme à chaque fois que le plaisir me gagne.

Ces derniers temps ma vie sexuelle n'est pas au beau fixe, alors plutôt que de profiter seule de cette éclaircie je souhaite la partager, démultiplier les sensations, vivre un moment de passion intense jusqu'à m'en epuiser, jusqu'à ce moment où j'aurais l'impression que mon coeur va cèder sous la pression. Et justement j'attends l'homme qui doit me rejoindre chez moi une heure après. A moi de jouer.

Je décide de jouer le tout pour le tout. Ce soir, je veux être à lui ! Tout entière ! Je veux qu'il me possède, que nous virbions à l'unisson, que nous nous perdions dans un orgasme explosif. Je n'ai que peu de temps. Je finis d'huiler chaque centimètre de mon corps, avant d'enfiler ce que j'estime être ma tenue la plus suggestive: une jupe courte que je referme sur une guépière noire brodée de dentelle bleue, un string assorti. Je finis de placer des bas noirs et pour complèter la tenue lace des chaussures à talons à mes chevilles. Un brin de maquillage, je remonte mes cheveux pour dégager ma nuque et soudain je me sens très femme, j'ai envie de lui être soumise, de lui appartenir.

Mais cette préparation ne me suffit pas, je veux que cette union soit parfaite, qu'il ne puisse pas détacher ses yeux de moi, je veux sentir le désir dans chacun de ses regards et jusque dans la manière dont il va me toucher. Reste à lui faire savoir que ce soir je suis prète à tout. Je me veux explicite et d'un trait de plume délie les mots suivants sur une feuille de papier " Ce soir je suis à toi, fais de moi ce que tu veux "

Je place ma missive sur un tas savamment constitué de foulards, d'une paire de menotte, de lubrifiant, et divers jouets pouvant mettre en branle son imagination. Je m'imagine déjà attachée, les yeux bandés, soumise à ses désirs. Que va-t-il me faire ? Que va-t-il me demander ? Chaque seconde est une torture que je sens glisser, brûlante, sur ma peau. J'aimerais qu'il soit déjà là ...

Ce soir chaque millimètre de mon corps sera à lui, aussi je décide de lui offrir sous son meilleur jour, prèt à toute éventualité. Pas besoin d'insister sur l'état de mon sexe, qui n'aura pas besoin de beaucoup plus de préparation pour être penetré. Mais je connais le goût de l'homme pour la sodomie, sur laquelle il se restreint afin que je n'ai pas l'impression " d'être prise pour un objet ". Et si je lui offrais ce soir en toute facilité...  Tout en préparant mon intimité de mes doigts je me prends à rêver, quand bien même nous ne serons que deux ce soir je sais qu'il peut me combler. J'aime quand il me prend par derrière tout en faisant aller un de mes jouets dans ma fente humide, ce sentiment de plénitude quand je me sens remplie, alors ce soir peut-être...  Déjà mes fesses s'écartent, mes doigts glissent aisèment, il ne manque plus que lui pour que tout soit à sa place et je ne peux retenir un gémissement tant l'envie est pressante.

Plus que quelques minutes. Je réajuste ma tenue, vérifie que je n'ai rien oublié et m'étend à côté du petit mot que je lui destine. La lumière tamisée je l'attends. Enfin les clefs tournent dans la serrure, rien que d'entendre ses pas dans l'escalier ma respiration s'accelère, il franchit le seuil, ses yeux se posent sur moi et il déchiffre mon scénario en qqs secondes.

 

FINS ALTERNATIVES

 

1* FANTASME : il s'approche de moi, s'arrête, me fixe un instant qui me semble une eternité. Il me sourit, m'embrasse. Puis il lie mes poignets et mes chevilles aux montants du lit. Ca y est l'instant tant désiré est là. La tension est palpable. Ses mains parcourent mon corps, se glissent sous ma jupe, et je vois son oeil s'éclairer quand il découvre la peau parfaitement lisse sous le triangle de tissu qui la dissimule.
Sans plus attendre il se place en 69 au dessus de moi et tandis que sa langue se fraye un chemin jusqu'à mon intimité je ne me fais pas prier pour l'avaler. Durant de longues minutes nous nous infligeons mutuellement ce delicieux supplice, en un défi muet. C'est à celui qui achèvera l'autre en premier ! Les coups de langue se multiplient, les lèvres se resserrent, et bientôt nous n'y tenons plus et jouissons ensemble. Il déverse dans ma gorge de longues giclées de sperme crèmeux.
Mais la soirée est bien loin d'être finie. Il s'accorde un moment pour reprendre ses esprits, s'armant du vibromasseur qui partage parfois nos ébats il s'escrime à me maintenir sous tension. Il aspire mes tétons parfaitements dressés tout en faisant glisser l'objet entre mes cuisses. Je me cambre autant que la position me permet afin qu'il puisse l'enfoncer au plus profond de moi. Il détache soudain les liens qui me retenaient, me fait agenouiller sur la moquette avant d'attacher mes mains dans mon dos. Debout devant moi il force à nouveau mes lèvres puis vient placer son sexe entre mes seins, qu'il referme sur lui et avec lesquels il se caresse. J'ai le sentiment de lui appartenir, d'être son objet de plaisir, et je me sens comblée quand je le sens durcir au creux de ma poitrine.Il me fait ensuite placer en levrette face au miroir de la chambre se positionne derrière moi, ses doigts glissent de mes fesses à mon sexe brulant, et soudain sans plus prévenir il s'enfonce dans ce dernier m'arrachant un cri de plaisir! Il me gratifie de quelques vas et viens destinés à lubrifier son sexe désormais fièrement érigé qu'il vient alors positionner entre mes fesses où il s'enfonce lentement mais sans la moindre difficulté. Il me pillone de plus en plus généreusement, je ferme les yeux gagnée par un plaisir aussi indéfinissable qu'intense. Quand je pense ne rien pouvoir ressentir de plus fort, et toujours sans cesser de bouger en moi mon sexe est soudain rempli par mon vibro favori. Il coordonne les gestes de sa main à celui de son sexe déclenchant par moment les vibrations qui m'emportent dans un autre monde. Enfin la jouissance m'emporte et me libère, en un instant d'une extase infinie. l'homme lui aussi rend les armes et son plaisir se répand sur mon dos en longues giclées. Nous nous embrassons et filons ensemble sous la douche encore engourdis par tant de plaisir.

2*REALITE :
il s'approche, me fixe un instant attrape le monticule de jouets qu'il pose par terre, se saisit de la couette qui repose au pied du lit, me recouvre, m'embrasse rapidement  avant de ranger le tout à sa place de me proposer un peignoir et d'aller préparer le dîner. 

Si vous ne comprenez pas maintenant pourquoi je me sens minable et incapable de susciter l'envie ....

Par Ev - Publié dans : vécu
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Jeudi 27 novembre 4 27 /11 /Nov 12:13

A l'époque à laquelle se déroule cet épisode de ma vie, je doutais sincèrement de l'attrait que je peux exercer sur la gente masculine.Je tentais alors de relancer une libido en déclin constant.


Il se trouve que j'avais ce soir là un rendez-vous tavec mon amoureux et je comptais bien mettre toutes les chances de mon côté. Je commençai par prendre soin de moi, en m'offrant un long bain chaud, peaufinant l'épilation intégrale que j'arborais alors. Puis je massai chaque millimètre carré de ma peau à l'aide d'huile de gingembre, afin de l'adoucir. Je commençai à sentir une agréable langueur gagner tout mon être et l'envie m'envahir.


Je profitai de ce que mes doigts étaient parfaitement lubrifiés pour faire rouler mes tétons entre mes doigts et les laisser glisser jusqu'au triangle de mes cuisses jusqu'à  ce qu'ils s'insinuent dans mon intimité. Je les laissais s'affairer sur mon clitoris, s'insinuer au plus profond de moi, m'emportant dans une douce torpeur. J'accentuai alors le rythme. Tandis que ma main gauche me facilitai l'accès en écartant mes lèvres, le pouce de ma main droit vrillait mon clitoris, mon majeur et mon index continuaient leur va-et-vient incessant. Il ne fallut pas longtemps avant que je sois prise de spasmes, que mon corps se cambre et qu'une vague de plaisir me fasse perdre la tête.


Mais il ne fallait pas que je perde de vue mon rendez-vous du soir. Toute à mon excitation je décidai alors que l'homme avec qui j'avais rendez-vous, ne me resisterait pas, j'allais mettre toutes les chances de mon côté.  J'essuyai les dernières traces de mouille qui avaient envahies mes cuisses et me préparai à recevoir mon ami.


Après avoir hésité sur la tenue à enfiler j'optai pour une guépière en dentelle bleue pâle aux bretelles de velours agrémentées de petits noeuds roses assortis aux bas qui étaient entre temps venus gainers mes jambes. Après avoir fixé les attaches des jarretelles, je m'apperçus que j'en avais oublié mon string. Un brin flemmarde, je décidai que je pourrais bien m'en passer.  Pour complèter la tenue j'enfile une jupe et un pull, enfin je relève mes cheveux afin de dégager ma nuque. Il ne me reste plus qu'à attendre mon invité.


Nous buvons un verre, discutons, et dès les premières minutes je sens que je peux être rassurée sur l'effet que je lui produis. La suite de la soirée confirmera cette impression.  A un moment tandis que je change de position je sens à son regard qu'il s'est rendu compte de l'absence de mon string. Il est troublé ! Cette pensée m'excite profondèment. J'en rajoute alors en me penchant pour lui offrir une vue plus adéquate sur mon décolleté.


Il profite d'un moment où je suis à la cuisine pr me rejoindre, m'embrasse langoureusement avant de glisser ses mains sous mon pull et de découvrir, apparement satisfait, le reste de ma tenue. Il n'en faudra pas plus pour que le haut vole et pour que ses mains parcourent mon corps. L'excitation est palpable. Je n'ai pas le temps de comprendre ce qui m'arrive, je me retrouve allongée sur la table de la cuisine, ma jupe glisse le long de mes jambes, me voila complètement offerte. Ses mains parcourent mon corps au travers de la dentelle, l'image que je me renvoye est terriblement excitante.


Je replie les jambes ramenant mes genoux sur ma poitrine pour lui offrir la vue et l'accès à mon sexe déjà trempé. Aussitôt sa bouche s'en empare et il commence à lécher mon intimité offerte, m'arranchant dès le premier contact un gémissement. Ses doigts et sa langue valsent sur moi, mes sensations sont décuplées, la tête renversée au bord de la table je savoure chaque instant. et bientôt emportée par un orgasme fulgurant je me redresse. Je devrais plutôt dire que je tente de me redresser car d'une main ferme monsieur me plaque de nouveau contre la table, il me murmure quelques mots, attire mes jambes sur ses épaules et impérieusement plonge ses doigts en moi, de plus en plus rapidement, de plus en plus profondèment, il me fouille littéralement. Je perds la tête, je suis prise dans un tourbillon de délices, je m'accroche au bord de la table pour ne pas perdre pied quand un second orgasme me terrasse.


A bout de souffle, je me laissai glisser le long de la table et vint me lover contre lui cherchant ses lèvres pour lui voler un baiser passioné. Enfin je l'attirai vers une chaise, le fit asseoir et entrepris de lui rendre la pareille en aspirant son sexe. Tout d'abord je léchais la petite goutte qui avait percé au travers de son boxer ...


(A suivre )




Par Ev - Publié dans : vécu
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