Samedi 8 janvier 6 08 /01 /Jan 15:49

Il est tard, et malgré tout je sais que je te trouverais, fidèle au poste, devant ton pc, écouteur sur les oreilles. Pour mon plus grand plaisir la chaleur accablante t'as incité à te débarrasser de tout tissu superflu, et je te découvre avec pour unique barrière un caleçon qui ne me résistera pas longtemps. Et il n'en faut pas plus pour que j'ai envie de toi, comme à chaque fois que je te redécouvre.

 

Tu ne m'as pas entendu entrer, et j'ai bien l'intention d'en profiter. Doucement je m'approche dans ton dos, et avant que tu puisses réagir je te bande les yeux. Tu sursautes, surpris de ce contact, mais mon initiative ne semble pas te déplaire.

 

Je masse doucement tes épaules et le haut de ton torse pour te permettre de t'habituer à ton nouvel état, et te laisser le temps de te détendre. Puis me penchant un peu plus avant je viens griffer légèrement l'intérieur de tes cuisses, ta nuque repose maintenant contre ma poitrine, et je sens ta respiration se précipiter.

 

Je me glisse entre tes jambes, ce soir tu seras mon unique préoccupation!

 

Mes mains frôlent ta peau de tes chevilles jusqu'au haut de tes cuisses, tandis que je me penche sur toi pour poser mes lèvres sur le peu de tissu qui te couvre encore, et caresser de mon souffle le bas de ton ventre. Je ressens chaque frémissements de ton corps, et chacun d'entre eux accentue la soif que j'ai de toi.

 

Je fais glisser ton caleçon pour enfin découvrir l'ampleur du désir que je t'inspire. Tu ne me vois pas, tu devines juste ma présence à nos peaux qui se frôlent mais cela te suffit à deviner la suite de l'histoire. Reste à savoir quand enfin ma bouche se refermera sur toi...

 

Ma langue pointe entre mes lèvres pour venir effleurer délicatement les contours de ton sexe. Elle descend jusqu'à sa base où j'entrouvre la bouche pour aspirer tes couilles, tandis que mes mains parcourent ton corps.

 

En inclinant la tête je viens enserrer ta queue entre mes lèvres qui remontent jusqu'à ton gland tandis que je te dispense de petits coups de langue irréguliers tout au long de mon parcours. Enfin j'arrive à l'endroit le plus sensible de ton être, qui devient aussitôt la cible de mon attention.

 

Du bout de la langue je le caresse, le contourne, comme si je voulais je voulais savourer le plaisir qu'enfin chaque millimètre de toi m'appartienne. En douceur je mordille son extrémité, et je me colle à toi enivrée par l'envie que j'ai de toi, tu sens mes seins peser entre tes cuisses sur la base de ton sexe.

 

Alors enfin je fais glisser mon gland dans le fond de ma bouche, je t'avale aussi loin que je peux. Puis je m'éloigne de toi te laissant glisser entre ma langue tendue et ma lèvre supérieure, accentuant la pression de mes levres au passage de ton gland.

 

Ma langue redescend le long de toi, tandisque d'une main je masse ton entre jambe. Puis elle remonte et de nouveau je t'avale, laissant ma bouche aller et venir sur ton sexe tendu, offert, faisant varier le rythme et la pression en fonction de tes réactions.

 

C'est alors que tu sens qu'une de mes mains s'est refermée sur toi, qu'elle accompagne ma bouche dans chacun de ses mouvements. Ton sexe est enserré, prisonnier de la caresse ferme de mes doigts et de la douceur du contact de ma bouche. J'accelère le mouvement, je veux être l'unique source de ton plaisir, et quand je te sens monter soudain je te relâche.

 

Je continue à te sucer, mais très légèrement, beaucoup plus profondèment, pour que tu retrouves tes esprits, ou que tu perdes définitivement la tête quand je t'avale en entier. Je sais que tu ne tiendras plus très longtemps, alors je décide de te libérer.

 

Je retire soudain ton bandeau, et le temps que tes yeux s'habituent à la lumière je reprends mes succions rapides, avides de toi et de ton plaisir. Ma main accompagne chacun des mouvements de ma nuque multipliant les sensations qui te gagnent.

 

Enfin, tu me regardes, et en une seconde tu découvres que pendant tout ce temps malgré tes yeux bandés je n'ai cessé de te fixer, d'un regard plein de désir, guettant le moindre soupir d'approbation. Tu t'apperçois aussi que je suis à genoux entre tes cuisses uniquement vêtue d'un fin bustier de dentelle noir, et d'un string minuscule.

 

Tu réalises alors que si une seule de mes mains à glissé sur ton corps c'est que l'autre s'affairait à accentuer le propre plaisir que m'inspirait le fait de te posséder.

 

C'est alors que ces découvertes mêlées aux caresses que je te prodigue ont finalement raison de toi. Tu jouis, dans ma bouche sur mon visage, et sur ma poitrine laissant de longues trainées blanches sur la dentelle noire. Je ramasse conscienscieusement du bout de la langue chaque goutte éparpillée sur ton sexe, me régalant de ta saveur salée.

 

Enfin, je t'adresse un regard qui n'appartient qu'à toi tout en portant à mes lèvres le doigt duquel j'ai essuyé les dernières gouttes qui perlaient sur ma joue.

Par Ev
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