Jeudi 23 décembre 4 23 /12 /Déc 17:29

Il y a certains moments dans la vie d'une joueuse qui ne peuvent que titiller les sens. Il suffit parfois d'un contact parfaitement anodin dans une atmosphère intimiste pour que remontent à la surface les vieux fantasmes.

 

Il y a peu j'ai sauté sur une occasion de m'offrir un vrai moment de détente, avec une après-midi soins et massages dans un institut que je fréquente occasionellement. Le genre de lieu propice à la relaxation et à l'imaginaire, une salle d'attente composée de lits recouverts de couettes moelleuses, le tout entouré de plantes vertes. Un endroit où vous savez pertinemment que toutes les personnes que vous croisez sont entièrement nus sous leur peignoire, tout comme vous l'êtes puisque c'est la règles pour les accès aux soins, au sauna et au spa.

 

Je paresse donc un moment dans la torpeur de ce lieu, prenant plaisir à tenter d'imaginer les formes à peine voilées de tous les gens que je croise. Puis on m'apelle pour passer dans un salon individuel où m'attend une agréable surprise en la personne d'une charmante masseuse, une femme à la beauté troublante qui ne peut que m'interpeler.

 

Après m'avoir débarrassé du peignoir qui l'encombre, elle me demande de m'installer au centre de la pièce, tamise la lumière et m'explique à quelle sauce je vais être mangée tout en commençant ses massages par mes épaules et ma nuque. Elle prend soin de protèger le bas de mon dos d'une couverture chauffante, et il n'en faut pas plus pour que mon esprit parte à la dérive.

 

Je suis allongée nue devant elle, elle me fait face et en se penchant pour prolonger le massage jusqu'au bas de mes reins, sa blouse s'ouvre très légèrement, suffsement toutefois pour me permettre de découvrir qu'elle est nue sous son uniforme. Mon sang ne fait qu'un tour et je ne peux m'empêcher de laisser remonter mes main sur la peau satinée de ses cuisses. Elle ne se rebelle pas, seulement gagnée par un frisson.  Et tandis qu'elle tente de me délasser, mes doigts se frayent un chemin jusqu'à ses fesses rebondies que je saisis à pleines mains. Plutôt que de se déplacer elle se penche sur moi pour enduire d'huile le haut de mes cuisses et je sens au travers du tissu qui la couvre, la chaleur de ses seins contre mon dos.

 

Il n'en faut pas plus pour que je sente une douce chaleur s'insinuer dans le bas de mon ventre, et mon trouble ne va faire que s'accentuer lorsqu'elle m'intime de me retourner pour continuer son soin côté face. Ses mains glissent légères de mes épaules à mes hanches, en prenant bien soin de contourner ma poitrine, sans jamais la frôler. Et cette caresse aérienne suffit à faire tomber toutes mes barrières, mes seins durcissent, mes tétons se dressent pour réclamer la caresse à laquelle ils aspirent. Je ne peux définitivement plus masquer mon trouble.

 

C'est le moment que choisis ma compagne pour se pencher plus avant, faire courir ses mains à l'intérieur de mes cuisses en prenant bien soin de les écarter un peu plus au passage, tout en saisissant entre ses lèvre la pointe durcie d'un de mes seins.

 

Je n'y tiens plus, me redresse et plaçant une main derrière sa nuque l'attire à moi, pour l'embrasser avec toute l'ardeur du moment. Je saisis le bas de sa blouse et commence à la relever, elle se décolle de moi et relève les bras pour m'aider à la dévêtir, et il me suffit de quelques secondes pour mettre à nue la beauté de ce corps aux courbes délicates. Pendant d'infimes secondes je suis gagnée par une jalousie féroce face à ses courbes divine, parfaite invitation à la luxure, mais ce sentiment est bien vite estompé par une impérieuse envie d'elle.

 

Je prends une seconde pour retirer la pince qui retient son chignon libérant une longue chevelure brune qui vient cascader sur ma peau. Sa peau mate, ses grands yeux, sa poitrine généreuse, son incroyable féminité, tout en elle est un appel au plaisir.  Ses lèvres viennent se poser, délicates dans le creux de mon cou tandis qu'entre deux doigts elle agace mes tétons dressés. Elle referme ses lèvres sur le lobe de mon oreille dont elle a préalablement dessiné le contour du bout de la langue.

 

De mes mains je suis le tracé de ses hanches, effleure le bas de son ventre et m'égare vers les boucles brunes qui masquent son intimité.

 

Elle me repousse, me fixe avec une intensité déroutante avant de me dire : " si tu continues je ne pourrais pas me contenter de ça"

 

Je souris et lui réponds "ça tombe bien je n'en avais pas l'intention"

 

[A SUIVRE]

 

 

Par Ev - Publié dans : fantasme - Communauté : FANTASME
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