Mardi 25 janvier 2 25 /01 /Jan 19:10

Encore une fois un récit pluripartite...

 

" Il est très tard quand je sors du travail ce jour là. Je traverse le centre commercial quasiment désert, les lumières sont baissées au maximum, tous les stores sont tirés, et seul raisonne dans le couloir le bruit de mes pas. J'atteins enfin les ascenseurs qui doivent me conduire jusqu'au parking souterrain où m'attends ma voiture.

 

Je profite des quelques secondes d'attente pour remettre de l'ordre à mes cheveux et tirer un peu sur la jupe de mon uniforme qui a une fâcheuse tendance à remonter à chaque pas. Enfin la porte de l'ascenseur s'ouvre, je pénètre à l'intérieur pour entamer ma descente, et me penche pour remettre en place la bride d'une de mes chaussures, ma jupe remonte plus franchement le long de mes cuisses. Le haut de mes bas et la dentelle de mon string se reflètent dans chacun des miroirs qui entourent la cabine.

 

Soudain la porte s'ouvre, et toi qui ne faisait qu'attendre de pouvoir monter, tu te retrouve ébahi face à mes fesses qui se reflètent à l'infini... Je me redresse précipitement, et je suis presque soulagée de te reconnaître et de deviner à ton expression que tu es aussi troublé que moi.

 

Nous poursuivons donc notre périple en duo, et je sens ton regard qui dans le miroir guette le moindre écart du tissu qui me couvre. La tension est palpable, nous sommes si proches l'un de l'autre qu'il suffirait que je tende la main pour te toucher. Mais la situation m'amuse et sans cesser de papoter, je réajuste mes bas dévoilant au passage la peau satinée de mes cuisses.

 

Nous arrivons finalement à destination. Cela fait tellement longtemps que je ne t'avais pas vu que je ne veux pas te laisser filer comme ça, toi fantasme de ma jeunesse, je veux connaître à nouveaux l'ardeur des émotions que tu m'as inspiré pendant de longues années. Aussi je t'attrape par la manche et dans une tentative désespérée te propose de me suivre jusque chez moi boire un verre "en souvenir du bon vieux temps". Je suis heureuse de constater que tu acceptes sans réfléchir.

 

A peine chez moi je t'offre un verre et te prie de m'excuser quelques instant le temps de me mettre à l'aise après cette dure journée. Je te laisse découvrir mon environnement, tandis que je méclipse. Et tout en me dénudant pour me glisser sous la douche, sachant très bien que tu entends tout ce qui se passe, je prends un malin plaisir à m'imaginer les sensations qui peuvent te gagner en imaginant l'eau tiède ruisseler sur ma peau, et ce seulement à quelques mètres de toi.

 

Je prends le temps d'huiler tout mon corps avant de me rhabiller, me rappelant que dans le temps tu appréciais ce détail. Enfin vient le temps de te rejoindre. Je te retrouve sur le canapé, tu lèves les yeux sur moi, et je devine à ton regard que nous ne resterons pas sages bien longtemps. Il faut dire que j'ai mis toutes les chances de mon côté. Tu me détailles sans aucune pudeur des pieds à la tête, découvrant tour à tour, des escarpins à talons vertigineux, d'où s'échappent des bas noirs. Ceux-ci disparaissent à leur tour sours une minijupe fendue juste suffisement pour appercevoir la jaretelle qui relie les bas à la guépière, qui apparaît en transparence sous une blouse blanche légère, ouverte sur la naissance de mes seins.

 

En fixant mon cou tu t'apperçois qu'il y pend une chaînette argentée qui disparaît profondèment dans mon décolleté. Je sens ta respiration s'accèlérer tandis que les questions se bousculent dans ta tête : qu'est-ce que c'est que ce bijou, jusqu'ou va-t-il ?

 

Tu me mates, sans aucune pudeur et j'adore sentir l'excitation te gagner, et le sentiment grandissant d'être ton objet, comme si tout était enfin parfaitement remis à sa place.

 

Il n'est plus question de boire un verre, déjà tes mains viennent se poser sur mon corps, essayant de s'approprier chaque parcelle. Nous sommes tous les deux bouleversés par l'urgence de nos désirs, tes mains me brûlent jusqu'au plus profond de mon ventre. En glissant le long de mes jambes elles retroussent ma jupe jusqu'à la taille, découvrant le bas de ma guépière, mélange de dentelle noire et de soie blanche. Tu restes immobile un instant, ce qui m'incite à avoir un mouvement de recul.

 

Alors les deux mains fermement plaquées sur mes fesses tu m'attires à toi, et pose ta bouche sur mon sexe au travers du tissu qui le couvre. La seule chaleur de ton souffle suffit à me faire frissonner de tout mon corps. Tu arraches plus que tu ne déboutonne mon haut et bientôt me voici en sous-vêtement et talons hauts, soumise à ton regard.

 

La fameuse chaînette disparait sous la dentelle, tu devines que deux de ses extrémités sont rattachés à mes seins, mais également qu'une troisième glisse le long de mon ventre jusqu'entre mes cuisses. A cette découverte je sens l'intensité de ton envie se dresser le long de ma cuisse. Tu me mordilles l'oreille et tu me sussurres "ça fait tellement longtemps que j'ai envie de toi" avant que ta langue ne viennent glisser le long de mon cou. Ta main vient se placer dans le creux de mes reins et tu m'attires à toi, je ne peux que te répondre "tu sais que je suis entièrement à toi ce soir".

 

Je sens instantanément que cette idée ne te déplait pas loin de là. Tu  titilles d'un doigt la pointe d'un sein dressé par l'envie et par l'extrémité de la chainette qui l'enserre. "Va chercher et mets en place ton jouet préféré" sont les seuls mots que tu es capable de prononcer.

 

Je m'absente quelques minutes, puis je reviens avec  une petite caisse que je te tends. Tu l'ouvres et y découvre des pinces à sein, des boules de geisha, vibromasseurs, menottes, bandeau, corde ...  ton excitation est de plus en plus grande et elle provoque en moi un désir impérieux, enivrant.

 

D'abord tu me demandes de te déshabiller. Je m'applique à le faire le plus sensuellement possible, prenant soin de me coller à toi, d'effleurer ta peau aussi souvent que possible. Enfin te voilà en boxer; et nous pouvons commencer à jouer.

 

 

Par Ev
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