essais littéraire

Vendredi 3 avril 5 03 /04 /Avr 19:02
Après avoir passé la journée un peu plus calmement nous nous installons confortablement au salon. Joueuse, j'attrape un coussin et lui lance à la tête. " Tu vas me le payer" Sur ces simples mots il se lève et s'approche de moi. " Même pas peur" Il m'embrasse et m'enlace, je me tourne et colle mon dos à son torse, le provoquant d'un "Vas-y, prends moi !" Je sens immédiatement son sexe s'éveiller contre moi, je m'éloigne, je replace mes bas et fais glisser mon string le long de mes jambes avant de le placer dans sa poche. D'un air de défi, je lui murmure à nouveau "Alors ? Prends-moi, je veux te sentir."

Posant ses mains sur mes cuisses, il remonte ma jupe et vient caresser mes fesses. Saura-t-il quoi en faire ? ans un mot, il me force à m'appuyer contre le mur, dos à lui. Je me cambre un peu plus pour lui offrir une vue imprenable sur ma chute de rein, il sait d'ores et déjà qu'il va me posséder. Son sexe est maintenant entièrement érigé et tellement dur qu'il glisse en moi sans le moindre porblème. Il s'approprie mon intimité, je me penche, nous nous agenouillons et c'et en levrette qu'il me pénètre plus profondèment. Ses doigts remplacent son sexe en moi, juste le temps nécessaire pour les lubrifier. 

"C'est ton cul que je veux
-Alors prends-le !"

De ses doigts trempés il prépare mon petit trou qui s'ouvre peu à peu. Bientôt je sens son gland se poser entre mes fesses. Il l'appuye lentement, se frayant un chemin au plus profond de moi, et en quelques seconde son gland m'a penetré, il est enserré, confiné. Ses mains sont posées bien à plat sur mon dos et je me sens comblée, parfaitement remplie. Et cependant, il pousse un peu plus loin son exploration, peu à peu le chemin s'élargit et son sexe tout entier entre en moi, je suis fendue en deux.

Une fois qu'il a entièrement pris possession de mon cul, je sens ses doigts errer sur mon clitoris enflammé et réinvestir mon sexe deserté. Il penètre simultanèment mes deux trous et tandis que son sexe comble en entier mon postérieur, j'ai la sensation que sa main toute entière pourrait glisser dans ma chatte détrempée.

Il caresse mes seins qui se balancent au rythme de ses coups de reins et je m'écarte au maximum afin qu'il me possède complètement. Je glisse de moi-même sur son membre dressé, accentuant mes mouvements quand je devine qu'il perd la tête. Enfin nous jouissons ensemble, et tandis que le plaisir nous submerge tous les deux son sperme se déverse en moi et me remplit.
Par Ev - Publié dans : essais littéraire
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Lundi 30 mars 1 30 /03 /Mars 23:00

... Se rapprochant de moi il cala son sexe entre mes seins, les ressera sur lui et se laissa aller, enserré au creux de ma poitrine. J'observais son sexe s'activer, redressant la tête je léchais doucement son gland, le prenant du bout de mes lèvres sans le freiner dans son mouvement. J'étais terriblement mouillée, j'aurais voulu m'occuper de lui mais il s'en sortait plutôt bien lui-même. Et soudain je vis son visage se figer, il laissa retomber mes seins, posa sa main sur son sexe et la seconde qui suivit je fus inondée de son sperme. Il avait aspergé ma poitrine et une partie de mon visage.

Détachée, j'allais nettoyer les restes de ce cadeau et observais au passage mes joues rosies par le plaisir. Il avait un don particulier et tout en essuyant le liquide qui ruisselait maintenant sur mes cuisses je mijotais une petite vengeance personelle.

Je me glissais sous la couette où je retrouvais mon amant paisiblement endormi. Je savourais la chaleur de son corps et le parfum de sa peau. Mais je n'oubliais pas le plaisir qu'il venait de m'offrir. Sur son visage se dessinait un sourire béat et je m'assoupis lovée contre lui. Réveillée par un léger souffle je jettais un oeil à cet homme qui partageait mon lit. Il dormait sur le dos et l'objet de ma vengeance me sauta aux yeux. Délicatement je m'enfonçais sous la couette, pris une seconde pour admirer sa virilité, et en prenant bien soin de ne pas le réveiller mes lèvres s'entrouvrirent pour venir englober son sexe. Son membre durcit jusqu'à atteindre une taille plus qu'honorable, j'y posai une main et l'activai sur lui. Je le laissai glisser sur ma langue tandis que ma bouche se resserait sur lui. Je coordonnais le rythme de ma main et celui de ma bouche, ma langue tournait sur son gland et caressai son frein. Il bougea légèrement, je délaissai alors son membre pour prendre ses couilles en bouche, je les lapais et les suçotais. 

Puis reprenant le cours de ma fellation, j'avalai son sexe plus profondèment, de plus en plus goulûment.  Ma main le masturbais sans perdre un centimètre de lui. Je sentis alors sa main sur ma tête, m'imprimant son rythme et je me laissant guider je l'aspirais littéralement. Son souffle s'accèléra, je le sentis proche de l'explosion. Lui refusant cet honneur, je lui jettais un regard aguicheur et m'en fus vers la porte. Il me rattrapa, me souleva de terre et m'assis fermement sur le bureau.

Sa main s'immisçait déjà entre mes jambes, son sexe pointa vers le mien et en m'embrassant à pleine bouche, il me murmura " Tu vas hurler".  Je le vis se rapprocher encore et sentis son gland forcer mes lèvres, il s'enfonça en moi jusqu'à ce que je sois pénétrée par chaque centimètre de lui. Plus il entrait ne moi et plus je m'accrochais à lui. Son sexe disparaissait en moi et je savourais cette fusion, je me sentais remplie.

J'aurais pû crier, mais profitant du fait qu'il était debout face à moi, sautant d emon perchoir je le renversai sur le lit. Je m'empalai sur lui pour le chevaucher, je voulais le posséder, être seule responsable de sa jouissance. Je me glissais le long de son sexe, ondulant tant que je pouvais et passant mes mains sur tout son corps. Je branlais son sexe dès qu'il sortait du mien, j'imposais une cadence soutenue, je me contractais sur lui , son sexe glissait en moi sans difficulté. Je fus soudain terrassée par un orgasme aussi soudain  que violent. Le plaisir était intense, entier, et dévastateur. Ses doigts se saisirent de mes seins, je renversais la tête et savourai cet instant.

Puis mettant fin à ma chevauchée je me laissais glisser à terre entre ses jambes afin d'achever la fellation, mon amant était totalement offert, surpris d'un tel comportement, il se donnait. J'accentuais la pression de mes lèvres, variant le rythme j'observais son visage. Il ne tarda pas à se crisper et à déverser son sperme dans ma bouche. J'avalais sans hésiter ce jus qui coulait dans ma gorge, ma langue nettoya son membre et je le suçais encore un peu. Puis, repue, je vins me lover contre lui. Il effaça une mèche qui me barrait les yeux et me dit en souriant  " Tu es un vrai démon petit ange" puis il posa un baiser sur mon front, et nous restâmes là un moment sans bouger.

 

[ A suivre ...]

Par Ev - Publié dans : essais littéraire
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Dimanche 29 mars 7 29 /03 /Mars 00:29

... Seul le bout de ses doigts lissait le velours de mon ventre. Je vis son visage s'approcher, il embrassait ma peau nue sans jamais descendre sous la ligne de mes épaules. Sa bouche parcourait mes épaules et la base de mon cou puis évitant soigneusement ma poitrine dressée, sa langue vint glisser autour de mon nombril et sur mes hanches offertes. Je tentais de l'enserrer de mes jambes, mais il s'esuiva et continua de m'infliger ce doux supplice en descendant toujours plus bas. Sa langue tourna lentement autour de mon nombril, glissa de nouveau sur ma peau en remontant mais sans se détourner plus de ma poitrine. Elle tourna, virevolta et prit définitivement possession de mes mamelons.

Mes mains s'appropriaient sa peau, je saisis sa tête et unis ma bouche à la sienne. Nos langues se lièrent pleines de promesses. M'accrochant littéralement à lui je plaquais mon bassin contre le sien. Mes doigts firent doucement glisser l'élastique de son boxer. Toutes mes pensées convergèrent vers son corps. Son sexe déformait le tissu qui l'enserrait, et mon envie de lui grandit encore.

Je le fixais d'un regard que je voulais provocant, plein de sensualité, de désir. J'y mis tout ce que j'étais, tout ce que je ressentais, pour qu'il puisse lire en moi toute la passion qu'il m'inspirait.

Sans lui laisser la moindre seconde de répit, je saisis à pleine main ses couilles et son sexe gonflé. Je le vis se mordre légèrement la lèvre et ne pus réprimer un sourire, j'aimais cet effet que je lui faisais, et la sensation de pouvoir que cela m'inspirait. Fatale erreur ! J'avais voulu jouer, j'avais perdu, le premier round du moins. Mon amant pesant sur moi de tout son corps, se saisit d'un foulard que j'avais innocement laissé trainer ça et m'attacha les mains aux volutes de fer blanc qui ornaient le lit. Dès lors je sus qu'il allait user, abuser et se jouer de mon corps. Je lui étais entièrement offerte et j'aimais cette idée.

L'excitation gagnait mon corps et je n'étais déjà plus qu'une flaque. Sa main se dirigea sans plus attendre vers mon string et en écarta la ficelle. Son majeur se fraya un chemin entre les lèvres de ma petite chatte pour goûter à sa chaleur et sa moiteur. Visiblement satisfait de mon état, je le vis s'enfoncer vers le bas de mon lit, il prit soin d'écarter un peu plus largement mes cuisses, s'offrant une vue imprenable sur ma féminité. Sa bouche frôla mes cuisses et prit possession de mon sexe malgré le string qui m'enserrit toujours.

Je n'avais plus assez d'esprit pour espérer que sa bouche m'aide à me défaire de ce lien, je savourais chaque seconde sans plus pouvoir me concentrer sur autre chose que sur la chaleur qui emplissait mon bas ventre. Je sentis soudains sa langue pointer au travers de la dentelle noire et ne pût réprimer un gémissement qui eût pour effet de motiver mon amant.

Le string ne fût pas enlevé mais tout bonnement arraché. Il n'y avait plus de barrière entre ses lèvres et les miennes. Pendant ce temps, il ne cessait de caresser mes seins.  Du bout des doigts, il ouvrit un chemin à sa langue. Sa salive humidifia aussitôt mon clitoris, qui fût aussitôt attaqué par sa langue. Elle glissait sans relâche sur mon petit bouton qui durcissait au fur et à mesure. Je sentis mes hanches onduler au rythme de ses attentions et tout mon corps fût soudain parcouru de décharges éléctriques. Il figea ses yeux dans les miens d'un air provocant, mon supplice n'était pas fini. Sa langue entreprit de jouer sur mes lèvres intimes, tandis que ses doigts prenaient le relais.

J'avais envie de lui, tout mon corps le réclamait. Haletante je tentais vainement de reprendre un peu mes esprits.  Je tenais de me détacher sans plus de succès, ce qui déplut à mon homme qui me "punit" sans plus attendre en plongeant deux doigts au plus profond de moi. Ils me pénétraient tandis que son pouce titillait toujours mon clito affamé. Mon amant me gratifia de longs va-et-viens et décidant que j'étais suffisament prète, m'offrit le luxe d'un troisième doigt.

Je gémissais de plus en plus et mon coeur était au bord de l'explosion. Il s'arrêta un instant, plaçant ses doigts luisants de mouille au niveau de mon visage. "Tu as l'air d'apprécier" me dit-il les posant sur ma bouche qui s'entrouvrit. Ma langue s'enroula autour de ses doigts, les aspira et les suça, prémices des faveurs que je voulais accorder à sa virilité grandissante.

 

[ A Suivre ...]

Par Ev - Publié dans : essais littéraire
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Samedi 14 mars 6 14 /03 /Mars 20:54
Voici (en plusieurs morceaux en raison de sa longueur) le premier texte érotique que je me suis essayée à écrire, il faisait à l'époque partie d'un recueil de nouvelles que j'espérais pouvoir faire publier, il a finalement fini au fond d'un placard. C'était également un défi lancé par un ami (oui je suis joueuse, d'ailleurs le défi en cours est de ne pas porter de sous vêtement un jour où je dois sortir, si vous me croisez en jupe dans les semaines ç venir posez-vous la question...) Je le retranscris tel qu'écrit à l'époque excusez donc la naïveté qui peut s'en dégager.

"Je faisais semblant de dormir, tournée face au mur. Le silence était troublé par son seul souffle. De l'autre côté de la pièce je l'entendais remuer légèrement, alors je me replongeais dans mes pensées. Quelques instants après, sa respiration se rapprocha de moi, son souffle réchauffait mon cou, sa main effleurait ma hanche et courrait sur le haut de ma cuisse. Je réprimais le léger frisson qui me gagnait et tentait de rester immobile. Ses doigts glissèrent plus bas sur ma jambe avant de remonter avec douceur pour venir enserrer ma poitrine.

Ma peau partiellement dénudée tressaillit sous la chaleur de son toucher. La pulpe de ses doigts glissa délicatement sur mes mamelons qui se dressèrent presque instantanèment, reconnaissants d'être ainsi pincés et titillés. Un soupir m'échappa et je ne pu plus feindre l'endormissement. Je me retournai; et en lui adressant un léger sourire posait ma jambe sur sa taille.

Je caressais ses épaules et son torse, il explorait mon dos et la cambrure de mes reins. Mon esprit échappait à mon contrôle mais de tout mon corps je le désirais, rêvant de cet instant où il plongerait en moi et où nos corps seraient à l'unisson. J'enfouis mon visage dans son cou savourant son odeur et profitant de l'occasion pour lui mordiller le cou et l'oreille. Mon sexe s'humidifiait sous la légère nuisette de satin mauve tant son corps tout entier était un appel à la luxure. Très doucement il passa ses mains sur mes fesses en une caresse sensuelle, descendit le long de mes cuisses, glissa légèrement vers l'intérieur et remonta en prenant bien soin d'effleurer ma chatte mouillée au passage. Ses yeux laissaient transparaître toute la joie de me découvrir ainsi dépendante. Il remonta le fin tissu jusqu'à ma poitrine et m'incita à m'allonger. "

A suivre ...
Par Ev - Publié dans : essais littéraire
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